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Comprendre la maladie

 

Contrairement à ce que certains semblent penser, la maladie n’apparaît pas spontanément du jour au lendemain. Mais elle est une réponse à plusieurs facteurs qui se sont accumulés au fils du temps, et dont nous avons souvent négligé les signaux d’alarmes qui pourtant n’ont pas manqué de se faire entendre, parfois faiblement, chroniquement, ou de façon plus appuyée. Nous contentant de prendre un cachet, un café, une cigarette, quelque chose à manger... en attendant que ça passe.

Or nous construisons notre maladie, souvent sur des années, comme nous construirions une maison.
Et pour construire cette « maison-maladie », nous allons nous servir de différents facteurs biologiques, émotionnels et environnementaux dont il faudra tenir compte lorsque nous voudrons raser cette « maison-maladie » et ainsi revenir à la santé.

 

Construire la maison-maladie (le Plan, les Matériaux, le Maître d’œuvre) :

Le Plan :
Pour que cette « maison-maladie » nous soit parfaitement adaptée, notre organisme va suivre un plan. Ce plan c’est notre hérédité.
Regardons nos parents, nous grands-parents et nous verrons de quel plan il s’agit. Tout ou en partie voilà ce dont nous allons souffrir un jour ou l’autre si nous n’y prenons garde.

Cette hérédité nous n’y pouvons rien. Ce sont nos gènes et on ne peut pas modifier nos gènes. Mais, et l’épigénétique l’a démontré (Codage épigénétique et évolution), nos gènes peuvent, ou pas, s’exprimer en fonction de notre environnement, de notre mode de vie, de notre perception émotionnelle de la vie.

C’est pourquoi il est nécessaire de traiter simultanément tous les aspects du problème, faute de quoi il ne manquera pas de ressurgir, un jour ou l’autre, sous cette même forme ou sous une autre forme.

 

Les matériaux :
Notre corps produits des toxines en permanence : produits de la dégradation de nos cellules (les « vieilles » cellules sont remplacées par les nouvelles), produits issus de la digestion, etc.
Toutes ces substances sont potentiellement dangereuses pour notre organisme. Mais fort heureusement, la nature a prévu de nous en débarrasser tout au long de la journée via les émonctoires (les zones d’évacuations des déchets) : via notre urine, nos selles, la transpiration et autres excrétions.

Mais que se passe-t-il lorsque la production de toxines internes est supérieure à la capacité d’évacuation de notre organisme ?

Lorsque nous mangeons trop et/ou trop souvent n’importe quoi, ou simplement que nous consommons régulièrement des aliments qui ne nous sont pas précisément favorables (à nous qui sommes différents de notre voisin), que nous fumons, que nous subissons des stress : un surplus de travail, une déception sentimentale, de l’inquiétude, une contrariété, un deuil, etc.
Le corps se trouve alors en danger d’empoisonnement. Il doit absolument mettre ces toxines, dont il ne peut pas se débarrasser immédiatement, quelque part dans le corps, les stocker en les neutralisant le mieux possible. Et pour cela il va les stocker dans les graisses et/ou vers un organe ou une zone du corps « relativement » moins sensible, moins indispensable (pour le moment).

Où ? Pour cela il va se servir de notre plan, du modèle imposé par nos gènes, de notre hérédité.

 

Le maître d’œuvre :

Et pourquoi plus vers cet organe que celui-là, pourquoi plus ce gène que celui-là pourtant également faible selon notre « Plan » familial ?

Et bien ce choix va revenir au Maître d’œuvre/au maçon/à l’entrepreneur  responsable et ouvrier de la construction de notre « maison-maladie ».

D’où vient-il ?
Il est issu de notre perception du monde et de notre place dans ce monde. Et cette perception est déterminée par une partie de notre cerveau dont la fonction est de nous maintenir en vie.
C’est notre centre de survie que l’on  nomme « cerveau émotionnel » ou encore « cerveau reptilien », « l’amygdale » (rien à voir avec les amygdales qui sont dans la gorge et que l’on retire aux enfants qui font des otites à répétition).

Cette zone de notre cerveau est sans « raison », sans « intelligence » et on ne peut y avoir accès de façon « volontaire », « contrôlée ». Cependant elle est déjà active bien avant notre naissance. Elle a déjà commencé à percevoir, à enregistrer nos émotions positives et négatives, ainsi que celles de la mère qui nous porte.
Et  déjà à ce moment là ce cerveau émotionnel a commencé à construire notre « disque dure » émotionnel, celui qui, pour le reste de notre vie, va déterminer ce qui est bon ou néfaste pour nous.

Bien sûr ces données émotionnelles vont continuer à s’accumuler tout au long de notre vie, mais notons que les premières années de notre existence vont être déterminantes pour notre perception émotionnelle du monde et de notre place idéale dans ce monde. Ce qui parfois pose un problème, nous limite dans notre vie d’adulte.

Cette perception émotionnelle, comme vous le verrez plus loin sur le site, ne correspond pas toujours à notre idée consciente et volontaire de ce que nous voudrions, mais malheureusement elle prévaudra, malgré nous, pour la construction de cette « maison-maladie », et cela tant que les blocages émotionnels n’auront pas été levés grâce à la technique de mouvements oculaires ou d’autres techniques spécifiques à l’E.P.R.TH. qui combinées au rééquilibrage de la biologie personnelle vont permettre un retour à la santé rapide et durable.

Ainsi pour sortir de la maladie, qu’elle soit bénigne ou grave, il est nécessaire de traiter tous les aspects du problème simultanément et c’est ce à quoi s’emploie le thérapeute E.P.R.TH.